World Superbike et Supersport 2019

Les deux pilotes officiels Yamaha conservent leur guidon en World Superbike pour la saison prochaine ! Michael van der Mark actuellement troisième du championnat 2018, et Alex Lowes cinquième, sont logiquement reconduits dans leur fonction : faire gagner la R1 !
Sport
WSBK
2018
10/13 Portugal - Portimão
2019

   YAMAHA



Entamé en 2016, soit un an après la sortie de la dernière YZF-R1, le retour officiel de Yamaha en World Superbike porte aujourd'hui ses fruits : les deux pilotes d'usine Michael van der Mark et Alex Lowes se trouvent actuellement dans le Top 5 mondial et visent plus haut l'an prochain...

Les lecteurs de Moto-Net.Com - qui, comme chacun sait, ont un peu plus de mémoire vive que les autres - se souviennent que Sylvain Guintoli "Himself" avait hissé la R1 de dernière génération sur le podium en WSBK : c'était lors de la finale 2016, au Qatar. Notre n°50 préféré se remettait alors vaillamment d'une lourde blessure.

Quelques semaines plus tard pourtant, en dépit de sa magnifique fin de saison et de son formidable travail de développement effectué sur la Superbike d'Iwata, notre champion du monde 2014 était contraint de tirer sa révérence. Yamaha a préféré miser sur un pilote plus jeune... Sacrebleu !

Titré lui en 2014 lui aussi, mais en catégorie World Supersport, Michael van der Mark (né le 26 octobre 1992) a en effet rejoint en 2017 le team d'usine Yamaha, aux côtés d'Alex Lowes (né le 14 septembre 1990). Interviewés en début de saison par MNC, les deux jeunes pilotes affichaient alors le même objectif : remporter leur première course en World Superbike.



Auteurs respectivement de quatre et deux podiums l'an passé, le n°22 anglais et le n°60 néerlandais ont du attendre 2018 pour ouvrir leur compteur. C'est d'ailleurs "Magic" Michael qui a offert leur première victoire aux Bleus, le samedi 26 mai dernier sur le circuit de Donington Park (Angleterre). Et le bougre a doublé la mise dès le lendemain !

Deux semaines plus tard à Brno (République Tchèque), c'était au tour d'Alex - le jumeau de Sam qui court en Moto2 - de s'imposer au terme d'une seconde manche rocambolesque. Le champion de British Superbike 2013 récompensait ainsi les efforts et la fidélité de l'équipe Crescent de Paul Denning.



Pour rappel, c'est cette équipe basée dans le Dorset (Angleterre) chargée d'aligner les deux Yamaha préparée par le département course de Yamaha Europe dans son quartier général de Gerno di Lesmo (Italie) qui avait fait monter Mister Lowes en World Superbike en 2014... sur leur Suzuki d'alors.
Les Bleus veulent leur deuxième étoile

Ne rien changer d'une équipe qui "commence à gagner" est une décision évidente et logique. En revanche, le défi dans lequel se lancent Yamaha, Van der Mark et Lowes est terriblement ardu : il s'agit de battre Kawasaki et son triple champion du monde Jonathan Rea !



Au championnat des constructeurs, Yamaha occupe une belle mais lointaine troisième place, avec 282 points marqués, contre 153 pour Aprilia, 336 pour Ducati et 395 pour Kawasaki. Les deux R1 officielles se sont consciencieusement relayés - parfois retrouvées - au sein du Top 6 de chacune des vingt courses 2018 disputées à ce jour.

Pour se battre pour le titre 2019, les pilotes d'usine Yamaha ne devront pas descendre du podium. Pour mémoire, c'est ce qu'avaient - quasiment - réussi à faire Noriyuki Haga et Troy Corser en 2007, l'année de l'unique sacre de Yamaha en World Superbike.



Actuellement troisième du championnat des pilotes grâce à son doublé, ses cinq autres podiums et ses six Top 6 supplémentaires, Michael van der Mark se trouve tout de même à 30 points de Chaz Davies et sa Ducati n°7... et à 122 points du "Number One" mondial et sa ZX-10RR.

La marche est plus haute encore pour Alex Lowes qui partage avec Marco Melandri la cinquième place du provisoire 2018 avec un total de 193 points, soit 25 de moins que Tom Sykes - qui quittera Kawasaki à la fin de l'année ! - et à 45 de moins que VDM. À suivre, sur Moto-Net.Com bien sûr !
Déclarations

Michael van der Mark, n°60 :
"Je suis vraiment heureux d'avoir signé pour une troisième saison avec Yamaha. Je crois en ce projet, Yamaha croit en moi en tant que pilote, c'est donc une combinaison solide. Bien que nous cherchions encore à nous améliorer, il est clair que nous avons fait des progrès significatifs, à tel point que nous gagnons maintenant des courses et que nous nous battons devant tous les week-ends. J'ai hâte de poursuivre sur cette lancée et de réaliser le prochain pas en avant. Nous travaillons pour atteindre notre objectif principal : lutter ensemble pour le titre de champion du monde".

Alex Lowes, n°22 :
"Je suis vraiment content de garder mon poste dans le projet Yamaha en World Superbike, car je suis impliqué depuis le retour de la marque dans la discipline en 2016. Nous avons traversé beaucoup d'épreuves ensemble, avec des hauts et des bas, mais nous sommes clairement sur une trajectoire ascendante. C'était génial de remporter ma première victoire cette saison, mais ce succès signifie évidement que nous nous attendons à plus chaque week-end. Je crois tellement en ce projet que mon ambition a toujours été de remporter le titre mondial. Or je ne pense pas que ce soit irréaliste, compte tenu des progrès réalisés. Je n'ai jamais autant aimé la course qu'avec cette équipe et je continuerai à tout donner pour porter Yamaha où il faut. Un grand merci à Eric de Seynes, Andrea Dosoli et Paolo Pavesio chez Yamaha, ainsi qu'à Paul Denning de l'équipe Crescent, pour avoir cru en moi".

Éric de Seynes, "n°1" Yamaha Europe :
"Nous sommes enchantés de poursuivre notre coopération avec Alex et Michael pour la saison 2019 du WorldSBK. Ils ont accompli un fantastique travail pour Yamaha en championnat du monde Superbike jusqu'à présent, et la saison 2018 a été la plus réussie depuis notre retour en 2016, avec trois victoires en course et 10 podiums à mi-chemin du championnat (aux deux-tiers, NDLR). Et évidemment, Alex et Michael ont joué un rôle important dans notre succès. Nous envisageons la saison à venir avec confiance et travaillons pour atteindre notre objectif ultime : le titre de champion du monde Superbike pour Yamaha".
Matthieu BRETILLE - © WWW.MOTO-NET.COM

Les lecteurs de Moto-Net.Com - qui, comme chacun sait, ont un peu plus de mémoire vive que les autres - se souviennent que le britannique Leon Haslam a été vice-champion du monde en 2010 sur la vieille - mais toujours bonne - GSX-R 1000, derrière Max Biaggi et sa récente RSV4.

Le n°91 avait quitté le WSBK suite à l'arrêt du programme Superbike chez Aprilia fin 2015, remportant pour l'occasion son ultime course, au Qatar ! Quatrième du championnat cette saison-là (son meilleur classement depuis 2010), Leon s'était malheureusement retrouvé sans guidon pour 2016...

MNC du 11 juin 2018 : Rea reste chez Kawasaki en WSBK jusqu'en 2020
Interview MNC : Tom Sykes, pilote Kawasaki en Superbike
MNC du 18 juillet 2018 : Tom Sykes et Kawasaki se séparent fin 2018

Réfugié en British Superbike (BSB), Haslam est passé tout près du titre 2017 (idem en 2016, comme nous le rappelait Sylvain Guintoli Himself !) et figure aujourd'hui à 35 ans en tête du classement provisoire 2018. En réalité, l'actuel pilote Kawasaki n'a jamais quitté le WorldSBK, effectuant plusieurs piges et motant même sur un podium l'an dernier à Donington Park, preuve s'il en fallait qu'il a encore le niveau international.

Notons toutefois que son contrat avec Kawasaki ne porte que sur 2019, là où la plupart de ses concurrents - Jonathan Rea, Michael van der Mark et Sam Lowes - ont signé pour deux ans... Une façon de permettre au turc Toprak Razgatlioglu de monter dans le team officiel en 2020 ? Transferts à suivre naturellement sur MNC : restez connectés !
Déclaration

Leon Haslam, n°91 :
"Je remercie chaleureusement Kawasaki pour cette opportunité. J'ai vraiment hâte de revenir en World Superbike. Après avoir remporté des victoires, des records du tour, des pole positions et une place de "vice-champion" au terme de mes 7 ans, ça va être génial d'être de retour. Le soutien de Kawasaki pendant mes trois ans en British Superbike puis via KHI aux 8 Heures de Suzuka a été exceptionnel. Je vais essayer de les récompenser avec le titre de champion de BSB 2018 puis tenter ma chance l'an prochain en WorldSBK. La saison 2019 va être très relevée car la compétitivité entre les usines est à son plus haut niveau, mais je suis confiant : avec une équipe aussi talentueuse et professionnelle derrière moi, on peut avoir beaucoup de succès".
La carrière de Leon Haslam

Né le 31 mai 1983 à Smalley, Derbyshire (Angleterre)
1991 : débuts en motocross
1995 : champion du Royaume-Uni en motocross junior
1996 : champion du Royaume-Uni en motocross junior
1997 : champion du Royaume-Uni de scooter Gilera (12 victoires sur 16 courses) et débuts en Honda CB500 Cup (une victoire sur une course)
1998 : 7ème en championnat britannique 125 (une victoire, deux meilleurs tours) et débuts en Grand Prix (17ème à Donington)
1999 : 5ème en championnat britannique 125 (une victoire, quatre podiums), 4ème en championnat d'Espagne 125 et wild card en GP 125 (19ème à Donington)
2000 : 27ème en Grand Prix 125 avec Italjet et 7ème en championnat britannique 125 (trois victoires sur quatre courses)
2001 : 19ème en Grand Prix 500 sur Honda NSR500V
2002 : 18ème en Grand Prix 250 sur Honda RS250
2003 : 11ème en Supersport britannique sur Ducati (une demi-saison) et 21ème en World Superbike sur Ducati (deux 6èmes places en trois courses)
2004 : 8ème en World Superbike sur Ducati et 19ème en Superbike britannique (vainqueur à Brands Hatch) après quatre manches
2005 : 4ème en Superbike britannique sur Ducati (trois pole positions, 19 podiums)
2006 : 2ème en Superbike britannique sur Ducati (meilleure qualif, 18 podiums)
2007 : 3ème en Superbike britannique sur Ducati (quatre victoires)
2008 : 2ème en Superbike britannique sur Honda (cinq victoires)
2009 : 6ème en World Superbike avec with Stiggy Motorsports Honda
2010 : 2ème en World Superbike avec Alstare Suzuki
2011 : 5ème en World Superbike avec BMW Motorrad
2012 : 8ème en World Superbike avec BMW Motorrad
2013 : 13ème en World Superbike avec Ten Kate Honda
2014 : 10ème en World Superbike avec Ten Kate Honda
2015 : 4ème en World Superbike avec Aprilia Red Devils
2016 : 2ème en British Superbike avec JG Speedfit Kawasaki
2017 : 3ème en British Superbike avec JG Speedfit Kawasaki
2018 : Actuellement leader du British Superbike avec JG Speedfit Kawasaki Team

LE JOURNAL MOTO DU NET - © WWW.MOTO-NET.COM

Dès l'épreuve de Portimao cette année, les équipes du championnat du monde Supersport pourront installer sur leurs motos le boîtier électronique MKE7, produit par la société MecTronik. Elles auront tout intérêt à le faire, car cet ECU deviendra obligatoire en 2019... Explications.

La Commission Superbike s’est réunie sur le circuit de Barcelone vendredi 15 juin, en marge du Grand Prix de Catalogne, pour "clarifier la réglementation, comme cela a été jugé nécessaire"...

Les hauts responsables de la Fédération internationale de motocyclisme (FIM), de l'Association des constructeurs (MSMA) et de Dorna (promoteur du MotoGP et du WorldSBK) ont apporté deux changements au règlement des championnats du monde Superbike et Supersport 2018.



Le premier concerne la procédure de départ : suite au rocambolesque GP d'Argentine, marqué - notamment, mais pas seulement ! - par la séance de poussette de Marc Marquez dont la RCV avait subitement calé sur la grille de départ, les "Gentils Organisateurs" du World Superbike ont tenu à revoir le règlement sportif du WorldSBK (voir le texte ci-dessous).

WorldSBK 2019 : le boîtier électronique unique arrive en Supersport !

Les "G.O." ont également profité de leur réunion pour modifier le règlement technique de leur catégorie intermédiaire... Murmurée depuis deux ans en catégorie "reine" Superbike et effective depuis deux ans en catégorie "impériale" MotoGP, l'adoption d'un boîtier électronique unique interviendra l'an prochain en World Supersport !

Grâce à la centrale MKE7 conçue et développée par la société italienne MecTrocnik - et installée sur la R6 officielle de Lucas Mahias, notre champion du monde 2017 -, Rezsö Bulcsu, Franck Vayssié et Paul Duparc (FIM), Takanao Tsubouchi (MSMA), Gregorio Lavilla et Daniel Carrera (Dorna) espèrent relancer un championnat spectaculaire, certes, mais devenu mono-marque... ou presque ?

WorldSBK 2019 : le boîtier électronique unique arrive en Supersport !

Grâce à sa nouvelle R6 en effet, Yamaha a raflé les sept premières victoires de la saison... dont trois en compagnie de Jules Cluzel ! Privé de son champion Kenan Sofuoglu, Kawasaki n'est pas monté une seule fois sur le podium pour le moment. Idem pour Honda dont le team de référence dans la discipline, PTR, n'arrive plus à intégrer le Top 5...

Quant au team Profile Racing, il a tout bonnement décidé de se débarrasser de la Triumph de son champion de British Supersport 2015 à la fin du mois de mai, soit quelques jours seulement avant son épreuve à domicile ! Luke Stapleford, cinquième à Phillip Island et à Assen au guidon de sa Daytona 675, roule depuis Donington Park sur une R6 surnommée "Roxy". Même les Anglais renient leur "super" production !?

WorldSBK 2019 : le boîtier électronique unique arrive en Supersport !

Seul MV Agusta et son pilote de pointe parviennent à s'illustrer : Raffaele de Rosa vient d'enchaîner quatre troisièmes places d'affilée. Mais le n°3 (sur le carénage, mais cinquième au provisoire) sait qu'il se trouve sur une selle éjectable : la firme de Varese quittera le WorldSSP (et WorldSBK) à la fin de l'année, direction le Moto2 !

Les équipes qui prévoient de concourir l'an prochain en World Supersport seront autorisées à utiliser le boîtier 2019 dès l'épreuve portugaise de 2018, afin de se "roder"... et de prendre un peu d'avance sur les teams qui jouent actuellement le titre et ne changeront vraisemblablement d'électronique cet automne ?! Affaire à suivre sur MNC...
Changements de réglementation WorldSBK 2018-2019

Règlement sportif

Des modifications mineures à la procédure de départ ont été approuvées pour clarifier la situation lorsque, après le tour de chauffe, un pilote cale sur la grille ou rencontre d’autres difficultés. Le pilote doit rester sur sa moto et lever le bras.

Tenter de redémarrer sa moto sur la grille n’est pas autorisé. Sous la supervision ou l’assistance d’un commissaire, le pilote doit quitter la grille et rejoindre la voie des stands, où ses mécaniciens pourront lui porter assistance. Cette clarification de la procédure de départ prend effet immédiatement.

Règlement technique

La Commission Superbike a décidé d’autoriser toutes les équipes du Championnat FIM Supersport World 2018 à utiliser l’unité de contrôle électronique (ECU) MKE7 dès la course de Portimão.

À partir de la saison 2019, l’usage de l’ECU MKE7 deviendra unique (et standardisé), et une limitation de régime moteur commune à tous les constructeurs sera appliquée.
Matthieu BRETILLE - © WWW.MOTO-NET.COM

http://www.moto-net.com/article/reglement-world-superbike-et-supersport-la-dorna-fait-le-point-avec-mnc.html


La semaine dernière, les organisateurs du WorldSBK ont annoncé l'introduction en 2019 d'une centrale électronique unique en World... Supersport ! Pourquoi ce choix ? Pourquoi pas en Superbike ? Le championnat WSBK est-il sur la bonne piste (celle du MotoGP) ? La Dorna répond à Moto-Net.Com.


Le MotoGP vit une période faste et furieuse depuis plusieurs années. Or la Dorna, qui gère les Grand Prix moto de gant de maître - il faut aujourd'hui le reconnaître -, entend faire de même avec l'autre championnat de vitesse moto dont elle s'occupe depuis fin 2012 : le World Superbike.

Souvent critiquée pour ses règlements alambiqués - en GP comme en WSBK -, la Dorna peut-elle relancer l'intérêt du public pour le World Superbike, discipline suivie sur MNC par dix fois moins de Moto-Nautes que la catégorie reine (un rapport strictement identique sur Facebook, avec respectivement 13 millions de "j'aime" contre 1,3) ?

   
La commission Superbike (Dorna, FIM et MSMA) a justement pris les amateurs de Superbike à contre-pied en annonçant l'introduction, à compter de 2019 (voire Portimao 2018 pour les équipes qui le souhaitent), d'une centrale électronique unique en World... Supersport !

Règlement World Superbike et Supersport : la Dorna fait le point avec MNC

La commission Superbike a sélectionné la centrale électronique MKE7 proposée par MekTronic, une entreprise basée à Cerea (Italie) qui n'a pas mis à jour son site officiel depuis sept ans... MNC a donc mené sa petite enquête auprès de Dorna.

Moto-Net.Com : Le World Supersport 2018 prend des airs de "Yamaha R6 Cup". En octobre dernier, Daniel Carrera nous confiait que la Dorna, la FIM et la MSMA étudiaient la possibilité de faire rouler d'autres types de motos. Qu'en est-il ?
Dorna : Différentes marques s'y attèlent. Pour le moment, il y a la possibilité de mettre à jour ou de concevoir de nouvelles machines qui correspondent au World Supersport actuel. Nous allons travailler dur pour maintenir cette catégorie, qui doit subsister car elle représente un tremplin important entre les 300 et les 1000 cc.

MNC : Vous venez d'annoncer l'adoption de l'ECU unique en Supersport l'an prochain. Dans quels buts ?
Dorna : Nous cherchons à améliorer l'équilibre des forces sur le plateau et faciliter son contrôle.

Règlement World Superbike et Supersport : la Dorna fait le point avec MNC

MNC : Pour quelles raisons avez-vous sélectionné la société italienne MecTronik et son boîtier MKE7 ?
Dorna : Parce que le MKE7 est déjà utilisé par trois marques en tant que kit ECU. Ce choix aura donc le minimum d'impact en termes de coûts.

MNC : L'arrivée de l'ECU unique en Supersport dès 2019 est-elle une étape vers l'ECU unique en Superbike ?
Dorna : Pas du tout ! Si nous le voulions dès maintenant en Superbike, nous l'aurions... Les décisions sont prises dans le meilleur intérêt de chaque catégorie : on ne sacrifie pas l'une pour l'autre !

MNC : En 2018, le règlement SBK a instauré des régimes moteur maxi par marque (14700 tr/min pour Aprilia, BMW, MV Agusta, Suzuki et Yamaha, 14300 pour Honda, 14100 pour Kawasaki et 12400 pour Ducati). Où en sommes-nous aujourd'hui ?
Dorna : Il y a eu quelques changements conformément au règlement et aux résultats obtenus :

   Aprilia : 14 700 tr/min (inchangé)
   BMW : 14 950 tr/min (+250)
   Ducati : 12 400 tr/min (inchangé)
   Honda : 14 550 tr/min (+250)
   Kawasaki : 14 100 tr/min (inchangé)
   MV Agusta : 14 950 tr/min (+250)

Règlement World Superbike et Supersport : la Dorna fait le point avec MNC

MNC : Michael van der Mark et la R1 ont remporté leur première victoire à Donington. Yamaha et Lowes ont confirmé à Brno. Eugene Laverty et Aprilia sont montés sur le podium à Laguna Seca... Le WorldSBK est-il sur la bonne piste ?
Dorna : Les modifications du règlement ont effectivement permis à d'autres marques d'être plus compétitives. Mais la plus grande différence aux avant-postes reste qu'une marque fait rouler Jonathan Rea.

MNC : Le dernier règlement WorldSBK devait aussi permettre de contenir les coûts. Estimez-vous que cette mission est-elle accomplie ?
Dorna : Vous donnez l'impression que c'était l'unique but. C'est chose faite, mais les règlements techniques ne représentent qu'une partie limitée du budget. La réduction des budgets en termes de personnel et de développement a été tout aussi importante.

Règlement World Superbike et Supersport : la Dorna fait le point avec MNC

MNC : En revanche, les écarts entre les équipes officielles et privées n'ont pas été réduits, puisque seul le team Ducati Barni est arrivé à s'illustrer en début de saison (neuf Top 5 sur les dix premières courses). Les pièces que les usines doivent mettre à disposition des teams privés ne changent pas suffisamment la donne. Faudrait-il aussi inclure un soutien humain : ingénieurs, mécanos, informaticiens ?
Dorna : Cette affirmation est clairement incorrecte ! La différence entre les motos est clairement plus réduite et les équipes privées ont une chance d'avoir des machines égales. Razgatlioglu a terminé deuxième à Donington Park et sa moto n'était clairement pas en retrait face à la machine de l'usine (certes, mais le "rookie" turc n'a décroché par ailleurs que des 8, 9 ou 10ème places, NDLR). La moto de Fores est la même que les Ducati d'usine (d'où les excellents résultats du premier pilote "indépendant", NDLR...). Les pièces que vous évoquez sont bel et bien disponibles. Mais vous avez aussi besoin de techniciens, de pilotes et de budgets : c'est là que se trouve la différence. Or ce n'est pas quelque chose que vous pouvez réglementer.

MNC : La grille inversée pimente un peu le début des secondes manches et facilite à certains pilotes l'accès au podium final, voire à la victoire. Mais en général, cela n'empêche pas les meilleurs ("le" meilleur...) de s'imposer. Songez-vous à augmenter le handicap des pilotes arrivés sur le podium le samedi ?
Dorna : Il s'agissait de donner plus de visibilité aux équipes qui marchaient bien en première manche mais n'accédaient pas au podium. La visibilité a évidemment augmenté sur la grille et lors des premiers tours des courses - donc dans les médias - mais nous ne nous attendions pas à ce que ce soit un facteur déterminant pour le résultat final. Nous analysons les résultats de cette année et nous allons les prendre en considération pour l'avenir. Ce que nous (Dorna) pensons, c'est que si les écarts entre les motos s'amenuisent, alors cette règle n'est peut-être plus nécessaire. Les décisions seront partagées avec les équipes, nous analyserons les avantages et les inconvénients avant de décider pour la saison prochaine.
Matthieu BRETILLE - © WWW.MOTO-NET.COM

Les gars ce serait cool de copier le texte et de placer le lien dessous

car la un post fait de liens c est pas super non?

Je te remercie toutefois de nourrir ce post de sujet :!

Mais je pense qu on peut faire mieux pour le confort visuel de tous ;)

 c'est fait hier j'ai été dérangé au téléphone. C'était plus rapide

BMW, YAMAHA, HONDA, DUCAT et KAWA en team usine... Peut être que ce championnat va regagner de sa superbe? Ou alors a ne creusera qu'un peu plus le fossé entre 5-6 top pilotes et le reste du plateau.

2019 arrive à grands pas, et la FIM ainsi que Dorna WSBK Organization ont dévoilé le calendrier provisoire du Championnat MOTUL FIM World Superbike 2019, dont 12 manches sont confirmées.

La saison démarrera par le traditionnel rendez-vous d’ouverture sur le Phillip Island Grand Prix Circuit. Du 22 au 24 février, les fans pourront ainsi suivre trois courses WorldSBK pour la toute première fois, avant que le plateau ne se déplace au Chang International Circuit du 15 au 17 mars pour la seconde manche.

Le paddock reviendra ensuite en Europe sur le MotorLand Aragón qui accueillera de nouveau le WorldSSP300. L’action reprendra alors sous un tout nouveau format à compter du week-end du 5 au 7 avril. Le rendez-vous suivant aura lieu dès la semaine qui suivra, du 12 au 14, sur le TT Circuit Assen, avant une courte pause. La cinquième manche prendra place à l’Autodromo Internazionale Enzo e Dino Ferrari di Imola du 10 au 12 mai, et précèdera l’arrivée du plateau sur le Circuito de Jerez - Ángel Nieto. Le populaire tracé espagnol fera ainsi son grand retour au calendrier du 7 au 9 juin.

Le WorldSBK reviendra en Italie du 21 au 23 juin, sur le Misano World Circuit Marco Simoncelli pour la septième manche de la saison. Un changement de date déplacera ensuite le rendez-vous britannique du Donington Park du 5 au 7 juillet. La neuvième manche, qui fera suite à l'étape britannique, doit encore être dévoilée.

L’Autodromo Internacional do Algarve sera cette fois le premier rendez-vous après la pause estivale. Le plateau WorldSBK se rendra donc au Portugal du 6 au 8 septembre. La finale de la saison européenne se tiendra sur le Circuit de Nevers Magny-Cours du 17 au 29 septembre, mais cela ne marquera pas la fin du WorldSSP300 pour autant.

Le Circuito San Juan Villicum, en Argentine, reviendra pour sa seconde saison, du 11 au 13 octobre, avant que les trois catégories ne se préparent à l’ultime manche du championnat qui aura lieu au Qatar, sur le Losail International Circuit. 2019 prendra ainsi fin du 24 au 26 octobre, pour une saison qui promet encore beaucoup d’émotions.

En plus de cela, deux tests officiels se rajouteront au calendrier. Le premier se tiendra les 18 et 19 février à Phillip Island, tandis que le second, qui sera programmé en milieu de saison, sera bientôt annoncé.

La Panigale V4R et l'ami Bautista ont l'air dans le coup dès le début, il est déjà deuxième dernière Rea.
Gros pilote quand même et bonne adaptation aux Pirelli!

Je verrais bien Bautista pilote n* 1 chez Ducati moi ... et surtout jouer le titre.

Ça fait un bail que je n'ai pas eu l'opportunité de traîner sur le fofo (faute de temps et de notifications qui n'arrivent plus). Alors désolé si je réagis à retardement.

Sur les limitations de régime moteur, les 12 400 tr/min (inchangé) pour Ducati, rassurez-moi c'est uniquement pour le bicylindre ! Vous savez quelle sera la limitation du V4 ?

Sinon, curieux de voir ce que donneront Cluzel, Mahias et Perolari. Pour l'instant Mahias n'a pas été transcendant sur la Kawa. Espérons qu'il progresse et que ce n'était qu'une mise en jambe.

Jules Danilo sera en Supersport en 2019 avec Honda PTR

joebarteam113 a écrit:

https://www.paddock-gp.com/supersport-interview-exclusive-de-lucas-mahias-je-prefere-me-battre-pour-le-titre-mondial-en-supersport-que-pour-une-dixieme-place-en-superbike/

ou premier en trottinette que dernier en motogp, évidement qu'en descendant d'un cran il sera mieux placé, il brasse de l'air là !!!

Les journalistes étant dans le "mou" de l actualité... te pondent des articles de m... qui servent à rien...

Si, pondre un truc pour occuper l'espace... et occuper le lecteur pendant la trêve qui pour moi est trop longue !

Faudrait croiser les championnats et épreuves pour que cela roule quasi toute l'année...

avec poignées chauffantes...

hey , quelqu'un sait où l'on peut trouver des infos sur les journées test de Jerez du SSP ?

c'est bloqué !

  Tu cliques visionnez sur Youtube

Excellent ce Lucas

Le voile est levée avec la présentation des Honda officielles Moriwaki/HRC...

https://wsbk.hondaracingcorporation.com/report/moriwaki-althea-honda-team-officially-launch-their-2019-colours-and-team/?fbclid=IwAR3zSJVugAQfWf4e7abbOwgTEcD1BxmP2-uSb2lreCuue2TtlPXc58yG1mE#lg=1&slide=10



Ce week end premièrs tours de roues à Philipp island qui laisseront ou pas apparaitre que cette fois la moto est partie pour un retour aux avant postes..

Honda is back ??

la saison va être bonne je pense 

Et pour SUZUKI il engage une machine ou pas ???? si quelqu'un connait la réponse ....
merci

Source WorldSBK

L’Espagnol s’est une fois encore montré le plus rapide durant l’ultime journée d’essais de pré-saison en Australie .
Álvaro Bautista (Aruba.it Racing - Ducati) a dominé le classement de la deuxième journée de Test Officiel à Phillip Island avec un tour en 1'30.303, quatre dixièmes plus rapide que son chrono de référence établi le lundi. L’Espagnol comptait également près d’une demi-seconde d’avance sur le quadruple Champion du Monde, Jonathan Rea (Kawasaki Racing Team). Face à des températures plus élevées que la veille, Bautista a nettement dominé la hiérarchie en Australie et devrait logiquement figurer parmi les prétendants à la victoire à l’occasion de l’épreuve d’ouverture prévue dans quelques jours. 

Six de ses adversaires sont toutefois parvenus à franchir la barre des 1'31, à commencer par Tom Sykes (BMW Motorrad WorldSBK Team), deuxième temps devant Leon Haslam (Kawasaki Racing Team), Jonathan Rea et Marco Melandri (GRT Yamaha WorldSBK).
 
Leader incontestable durant l’hiver, Rea est sur une série de 11 succès consécutifs. Mais pour le moment, c’est Bautista qui dirige les débats, enregistrant pas moins de sept tours plus rapides que son rival nord-Irlandais. Le représentant Kawasaki a profité de cet ultime roulage pour poursuivre le développement de sa ZX-10RR. De son côté, Haslam a bouclé 74 tours du tracé australien avec un set-up de base similaire à celui du Champion du Monde. Le Londonien a cependant adapté certains réglages à son style. Et cela semble avoir porté ses fruits puisqu’il devançait son coéquipier au soir de la dernière journée. 
 
Auteur du doublé l’an passé à Phillip Island, Melandri pointait au cinquième rang avec le statut de meilleur pilote Yamaha, tandis que Sandro Cortese (GRT Yamaha WorldSBK) occupait la huitième position. Alex Lowes (Pata Yamaha Official WorldSBK Team), victime d’une première chute dans la première courbe à la mi-journée puis d’une seconde avant le drapeau à damier à hauteur du virage n°4, a dû se contenter de la neuvième place. Michael van der Mark (Pata Yamaha Official WorldSBK Team) se voyait lui crédité du septième temps devant Cortese. 
 
Avec une ZX-10RR version 2019, Toprak Razgatlioglu (Turkish Puccetti Racing) s’est adjugé le sixième chrono. Jordi Torres (Team Pedercini Racing) et Tati Mercado (Orelac Racing VerdNatura) ont quant à eux mis l’accent sur la gestion de l’usure des pneus à bord de leur Kawasaki.  
 
Si Chaz Davies (Aruba.it Racing - Ducati) a réussi à abaisser son chrono du lundi de près d’une seconde, le Gallois, 14e, concédait malgré tout 1.5s sur son coéquipier. Eugene Laverty (Team GoEleven) était 18e, devant une autre Ducati, celle de Michael Ruben Rinaldi (Barni Racing Team), victime d’un problème mécanique l’obligeant à conclure prématurément la première séance. 
 
Plusieurs drapeaux rouges ont perturbé les simulations de certains, mais Tom Sykes et Markus Reiterberger (BMW Motorrad WorldSBK Team), légèrement diminué par une blessure à l’épaule le premier jour, ont complété deux sessions prometteuses en vue du Round Yamaha Finance d’Australie. Le duo BMW s’est concentré sur différents éléments de châssis au guidon de leur BMW S1000RR. 
 
Dans le clan Honda, Leon Camier (Moriwaki Althea Honda Team) s’est d’abord hissé dans le Top 10 avec un chrono en 1'31.443 avant de redescendre à la 13e place, non loin devant Ryuichi Kiyonari, 15e temps. Alessandro Delbianco (Althea Mie Racing Team) et Troy Herfoss (Penrite Honda Racing) complétaient le classement combiné du mardi.

Trois constructeurs différents placés parmi les cinq premiers au soir du premier jour du Test Officiel en Australie.
Un ciel nuageux attendait les pilotes du WorldSSP au matin de la première journée de Test Officiel sur le circuit de Phillip Island ; une dernière occasion pour eux de peaufiner le set-up de leur machine avant le coup d’envoi de la saison. 
 
Et c’est Randy Krummenacher (BARDAHL Evan Bros WorldSSP Team) qui figurait en tête du classement combiné des deux premières séances avec un chrono en 1'33.820. Le Suisse devançait son coéquipier Federico Caricasulo, lequel avait d’abord dominé les débats en début de journée avant de partir à la faute et de s’incliner pour 62 millièmes. La deux protagonistes du team BARDAHL Evan Bros WorldSSP, qui s’étaient hissés aux deux premières places en 2016 sur le tracé australien, en ont profité pour mettre au point leur YZF-R6 en vue du Round Yamaha Finance d’Australie prévu en fin de semaine. 
 
Au guidon d’une Yamaha adaptée en raison de sa blessure à la cheville survenue à Losail en novembre dernier, Jules Cluzel (GMT94) s’est adjugé le troisième temps. Tombé à hauteur du virage Doohan, le Français est parvenu à reprendre confiance pour conclure la journée à trois dixièmes de Krummenacher. Corentin Perolari a quant à lui hissé la deuxième machine du GMT94 au neuvième rang de la hiérarchie, à trois dixièmes de Cluzel. 
 
Son compatriote Lucas Mahias (Kawasaki Puccetti Racing) occupait pour sa part la quatrième place. Le Landais, victime d’une chute après deux tours lundi matin, pointait quatrième devant la MV Agusta F3 675 de Raffaele De Rosa (MV Agusta Reparto Corse) et une autre Kawasaki, celle d’Hikari Okubo (Puccetti Kawasaki Racing). Deuxième représentant du MV Agusta Reparto Corse, Federico Fuligni, qui a poursuivi son apprentissage de la catégorie, a terminé en 15e position à 1.9s de la référence. 
 
Dans le clan Yamaha, le team Kallio Racing, ancienne équipe de Sandro Cortese, s’est également illustré. Thomas Gradinger (Kallio Racing) s’est offert le huitième chrono, tandis qu’Isaac Viñales complétait le Top 10. Loris Cresson se voyait de son côté crédité du 13e temps à 1.7s de Krummenacher. 
 
Pour certains, cette journée du lundi était placée sous le signe de la découverte, notamment pour Héctor Barberá (Team Toth by Willirace), septième, ou encore Hannes Soomer (MPM WILSport Racedays), 11e avec le statut de premier pilote Honda. Peter Sebestyen (CIA Landlord Insurance Honda) figurait à la 12e place tandis que Tom Toparis (Landbridge Transport Yamaha), wildcard, était 14e. 
 
Jules Danilo (CIA Landlord Insurance Honda), qui continue de prendre ses marques en WorldSSP, s’est adjugé le 19e temps à 1.9s.

sebrider18 a écrit:

Et pour SUZUKI il engage une machine ou pas ???? si quelqu'un connait la réponse ....
merci

Pas de Suzuki engagée

Les résultats de la première séance en Superbike:

http://resources.worldsbk.com/newsdesk/2019/Tests/Australia/tuesday/21_WorldSBK_2019_Phillip%20Island_Tuesday%201_Results

De la deuxième séance:

http://resources.worldsbk.com/newsdesk/2019/Tests/Australia/tuesday/21_WorldSBK_2019_Phillip%20Island_Tuesday%202_Results.pdf

En Supersport:

http://resources.worldsbk.com/newsdesk/2019/Tests/Australia/tuesday/21_WorldSSP_2019_Phillip%20Island_Tuesday%201_Results.pdf

Grosse progression de Perolari sur la 2e journée, j'espère qu'il sera la bonne surprise de la saison

Nette domination de la Panigale V4R 

https://www.gp-inside.com/bautista-finit-la-pre-saison-en-patron/

Suzuki c est en négociation avec ten Kate pour un pilote à partir de aragon

Guybrush a écrit:

Nette domination de la Panigale V4R 

https://www.gp-inside.com/bautista-finit-la-pre-saison-en-patron/

Ah bon ? 
Davies 14e +1.4
Laverty +1.683
Rinaldi +1.780

Je dirais plus grosse domination de Bautista que grosse domination de la V4R :D

regis31 a écrit:

Suzuki c est en négociation avec ten Kate pour un pilote à partir de aragon

Super on verra ce que cela donne...

Bautista vient de dominer la première course. Haslam a chuté, dommage on aurait aimé voir s'il chahutait Rea jusqu'au bout.

Sykes ne s'en tire pas si mal avec une BMW anémique (regardez les Vmax).

Cortese fait un bon début saison pour un rookies.

Honda à la ramasse...

Melandri content de faire podium devant les Yam officielles. Superbe remontée du turc qui termine devrant Sykes.

Davies au fond du classement et les autres Ducati pas beaucoup mieux.

Vivement la course en SSP même si Mahias semble aussi avoir une machine qui manque de vitesse de pointe. Cluzel lui semble avoir toutes les cartes en mains.

La première course en Superbike:

1. Alvaro Bautista ESP Aruba.it Racing – Ducati 22 laps
2. Jonathan Rea GBR Kawasaki Racing Team +14.983s
3. Marco Melandri ITA GRT Yamaha +16.934s
4. Alex Lowes GBR Pata Yamaha +16.984s
5. Michael van der Mark NED Pata Yamaha +19.179s
6. Toprak Razgatlioglu TUR Kawasaki Puccetti Racing +21.203s
7. Tom Sykes GBR BMW WorldSBK Team +21.488s
8. Sandro Cortese GER GRT Yamaha +23.018s
9. Michael Ruben Rinaldi ITA Barni Racing Team Ducati +25.580s  
10. Chaz Davies GBR Aruba.it Racing – Ducati +27.124s
11. Jordi Torres ESP Team Pedercini Racing Kawasaki +28.214s
12. Eugene Laverty IRE Team Go Eleven Ducati +30.055s
13. Markus Reiterberger GER BMW WorldSBK Team +31.859s
14. Leandro Mercado ARG Orelac Racing VerdNatura Kawasaki +34.793s
15. Leon Haslam GBR Kawasaki Racing Team +41.009s
16. Ryuichi Kiyonari JPN Moriwaki Althea Honda Team +45.523s
17. Alessandro Delbianco ITA Althea Mie Racing Team Honda +1 lap
Did not finish
Troy Herfoss AUS Penrite Honda Racing
Leon Camier GBR Moriwaki Althea Honda Team

Avec un peu de retard les essais:

La première séance d'essai libre en Superbike:

1. Jonathan Rea GBR Kawasaki Racing Team 1m 30.341s 21 laps
2. Alvaro Bautista ESP Aruba.it Racing – Ducati 1m 30.362s 21 laps
3. Leon Haslam GBR Kawasaki Racing Team 1m 30.499s 19 laps
4. Tom Sykes GBR BMW WorldSBK Team 1m 30.664s 20 laps
5. Sandro Cortese GER GRT Yamaha 1m 30.850s 18 laps
6. Markus Reiterberger GER BMW WorldSBK Team 1m 30.862s 22 laps
7. Leon Camier GBR Moriwaki Althea Honda Team 1m 31.024s 21 laps
8. Michael van der Mark NED Pata Yamaha 1m 31.060s 19 laps
9. Jordi Torres ESP Team Pedercini Racing Kawasaki 1m 31.146s 21 laps
10. Alex Lowes GBR Pata Yamaha 1m 31.285s 21 laps
11. Chaz Davies GBR Aruba.it Racing – Ducati 1m 31.334s 21 laps
12. Marco Melandri ITA GRT Yamaha 1m 31.355s 22 laps
13. Toprak Razgatlioglu TUR Kawasaki Puccetti Racing 1m 31.599s 19 laps
14. Leandro Mercado ARG Orelac Racing VerdNatura Kawasaki 1m 31.847s 20 laps
15. Michael Ruben Rinaldi ITA Barni Racing Team Ducati 1m 31.855s 20 laps
16. Ryuichi Kiyonari JPN Moriwaki Althea Honda Team 1m 31.940s 21 laps
17. Eugene Laverty IRE Team Go Eleven Ducati 1m 32.095s 19 laps
18. Alessandro Delbianco ITA Althea Mie Racing Team Honda 1m 32.669s 14 laps
19. Troy Herfoss AUS Penrite Honda Racing 1m 33.324s 11 laps